Nicolas Parent, INTUITIONS (2023)
“ Magnifique album, très délicat “
FRANCE MUSIQUE Open Jazz Alex Duthil
“ Pas une note de trop, juste le frisson toujours juste et pudique. Littéralement envoûtants “
JAZZ NEWS Bruno Guermonprez
“ Beaucoup de sincérité, une volonté d’être à l’écoute de la musique lorsqu’il la joue “
FRANCE MUSIQUE Guitare, guitares Seb Llinares
“ Milles nuances font la richesse de ce voyage en apesanteur “
JAZZ MAGAZINE Ismal Simeon
“ Un album aérien et léger qui vous élève au-delà des nuages “
“ Guitariste au lyrisme minimaliste “
LES DNJ Jean-Marc Gélin
“ Des instants magiques. Le résultat est là, superbe; pour ne pas dire sublime “
PARIS MOVE Thierry Doc Mac
.
.
Nicolas Parent trio, MIRAGE (2019)
« Très très beau… Album merveilleux »
F I P
A la Une d’Open Jazz
« Une musique très colorée… Un vrai imaginaire »
FRANCE MUSIQUE Alex Dutilh, Open Jazz
« Un pur talent à suivre »
JAZZ NEWS Bruno Guermonprez
« Top Jazz du mois »
MEZZO
« La petite musique de ce guitariste inclassable traverse les saisons, doucement vagabonde, joliment »
TELERAMA Anne Berthod
« Le trio propose une musique contemplative, profonde, et d’une rare délicatesse »
JAZZ-MAGAZINE J-F Mondot
« Un opus qui va profondément marquer 2019… INDIDPENSABLE »
PARIS MOVE Thierry Docmac
« Maître zen Nicolas Parent, archange d’un jazz modal minimaliste et atmosphérique dont les mélodies abstraites évoquent les grands espaces »
GUITARE XTREME MAG Ludovic Egraz
« Un monde musical à l’esthétique savante et subtile »
CULTURE JAZZ Yves Dorison
« Un disque très attachant »
BLOC DE CHOC Pierre de Chocqueuse
« Ce n’est pas un mirage, c’est un miracle »
CITIZEN JAZZ Denis Dessasis
.
Nicolas Parent trio, TORI (2015)
RADIO
“ Album Jazz de la semaine ! ”
CLUB JAZZ À F I P
“ Magnifique musique : enveloppante et envoûtante ”
FRANCE MUSIQUE Nicolas lafitte, La Matinale
“ Disque du jour… Chantre de la douceur ”
“ On y retrouve la patte inimitable de Nicolas Parent ”
FRANCE CULTURE Martin Quenehen, Ping-Pong
“ Un sommet de douceur poétique “
“ Tori est une ode sensuelle à la beauté ”
“ L’artiste et ses complices cultivent ici à la perfection, l’art du silence ”
F I P
“ Album magnifique… Une musique qui est là pour le plaisir ”
“ La mise en valeur des mélodies… traverse le charme de cet album ”
FRANCE MUSIQUE Alex Dutilh, Open Jazz (à la Une)
TV
“ Coup de coeur : CD Jazz du mois “
MEZZO
WEB
ÉLU CITIZEN JAZZ
“ De nouveaux voyages, toujours empreints de poésie et de pudeur ”
“ Une invitation à l’évasion… Quelques magnifiques miniatures improvisées en solo ”
CITIZEN JAZZ Olivier Acosta
“ Une approche musicale très poétique, toute en légèreté ”
“ Des mélodies subtiles aux charmes aventuriers ”
CULTURE JAZZ Thierry Giard
“ Excellent guitariste… Inspiré et virtuose sans ostentation… Un magnifique album “
“ Fluide naturel, harmonieux, Tori nous a enchanté… INCONTOURNABLE ”
LA REPUBLIQUE DU JAZZ Georges Kiossef
“ Une musique à la fois fine, sensuelle et rythmée… Un ouvrage tout en nuances ”
“ Si la blue note existe vraiment, elle doit ressembler à ce que l’on peut trouver sur Tori ”
ZICAZIC Fred Delorge
“ Le jeu collectif du trio atteint souvent une symbiose des plus impressionnantes ”
“ Un véritable imaginaire musical, riche et empli de natures ”
D J A M J-C Colletto
“ Les beautés voyageuses de cette musique, d’une grande délicatesse mélodique ”
“ Nous emporte avec elle vers des sommets où l’air qu’on respire est source de sérénité ” MUSIQUES BUISSONNIÈRES Denis Dessasis
ÉCRITE
“ Un très bel album zen et contemplatif ”
GUITARE XTREME MAGAZINE Ludovic Egraz
“ Un nouvel album qui fait espérer le meilleur… Une profondeur et une vie tout à fait remarquable ”
JAZZ NEWS Bruno Guermonprez
.
Nicolas Parent trio, MOMENTS (2013)
RADIO
“ Etonnant ! Très réussi et intéressant… ”
FRANCE INTER Elsa Boublil
“ Très bel opus… Une composition raffinée ”
FRANCE MUSIQUE Jérôme Badini
“ Album coup de cœur de l’année ! “
“ Un disque tout en délicatesse ”
F I P Milena Rousseau
“ Excellent musicien… très belles respirations “
“ Un coup de cœur ! ”
TSF JAZZ Manu Galvin
“ Ces compositions sont captivantes… Très beau premier album ” ALIGRE Eugénie Barbezat
“ Très beaux climats… Très sensible ” RADIO CAMPUS Bruno Guermonprez
ÉCRITE
“ Disque coup de cœur ! Un subtil moment d’atmosphère ” LYLO
“ Faiseur d’ambiances… Un encapsuleur d’émotions ” GUITARE XTREME MAGAZINE Ludovic Egraz
“ Un album indispensable quand on est épris de beauté ” BLUES & CO Queen Lolo
“ Une musique originale… Acoustique pure et bienveillante ” MONTICULE MUSIQUE Noel Lopez
“ Une belle réussite… Très belle prise de son “ MEDIATHEQUE MUSICALE DE PARIS P.Lechevalier
WEB
“ Ces Moments délectables renferment leur lot d’instants précieux ” CITIZEN JAZZ Olivier Acosta
“ Une remarquable réussite… Un projet audacieux ” LES DNJ Tristan Loriaut
“ Moments riches et intenses… Jeune guitariste plein de talent ” ZICAZIC Fred Delorge
“ Une véritable patte de compositeur… Accomplie et aboutie ” LA REPUBLIQUE DU JAZZ G. Kiossef
“ Fraîche et poétique… Une découverte agréable ” CULTURE JAZZ Thiery Giard
CHRONIQUES :
LES DERNIÈRES NOUVELLES DU JAZZ
Construit à part entière comme un passionnant Road-movie, ce premier opus du guitariste français Nicolas Parent est une remarquable réussite. Un projet audacieux, aux doux reflets d’ambre et de palissandre.
Dès le début du disque, entre les musiciens s’installent fréquemment avec folie des joutes rythmiques interactives. Le timbre boisé des guitares entremêlées provoque un irrésistible appel au voyage des sens. Une incommensurable poésie émane de chacune des envolées mélodiques. Par le biais de sa contrebasse, Tommaso Montagnani offre à l’ensemble une assise d’une étonnante solidité, en permanence relié aux autres par la précision de son jeu.
Ce trio use de l’honorable héritage du Jazz par le biais de cadences reconnaissables, ainsi que l’utilisation de codes rythmiques, comme par exemple dans Sunday Afternoon ou bien Bang in Blue. Harmonieuse succession d’accords teintés d’un profond onirisme.
Chez le batteur et percussionniste Guillaume Arbonville demeure un sage accompagnateur à l’écoute des autres, sachant aussi bien contrôler avec finesse les nuances que donner la réplique aux appels rythmiques de ses comparses, variant le plus souvent l’utilisation de différents timbres. Largeur du son, lenteur des effluves, la correspondance des sujets sonores abordés est totale.
Dans When dreams come true s’immisce aussi un brin d’Afrique, résonnant dans le claquement des cordes en nylon, ainsi qu’un certain lyrisme évoquant un court instant la culture musicale sub-saharienne.
L’ivresse improvisatrice de l’introduction de Zyryab évoque aussi une part culturelle de ce continent.
Définir un tel ouvrage dans son ensemble comme une merveilleuse bande son d’un film mélancolique serait sans doute réduire l’importance de ce projet artistique. Il va de soi que la découverte d’un tel album ne laisse pas indifférent.
Tristan Loriaut
LA RÉPUBLIQUE DU JAZZ
Nicolas Parent, guitare sereine
Très bel album, inspiré, reçu il y a peu, celui du guitariste Nicolas Parent et de son trio, comprenant Guillaume Abonville aux percussions et Tommaso Montagnani à la contrebasse.
D’élégantes mélodies, légères, parfois quasi-orientales, émaillent ce beau CD, qui s’écoute dans la continuité, tranquille, relax… Planant, osons l’expression !
Les climats de guitare oscillent entre l’acoustique et l’électrifié, de façon très subtile. Le voyage musical que nous propose Nicolas Parent est fin, prend son temps, et au final nous amène fort loin.
Loin des clichés, des conventions, des codes habituels de la guitare « Jazz ».
Il y a là une véritable patte de compositeur, une intention originale, accomplie et aboutie. Dans la solitude de l’écoute, si semblable à celle de la lecture, le climat, peut-être un peu nostalgique, de ce projet, livre tout son sel.
Agréable moment musical qui n’est pas sans évoquer la découverte, jadis, des premiers disques du label ECM, quel bonheur de retrouver un sens de la fraîcheur, si souvent absente en ces temps parfois sombres.
Nicolas Parent nous offre avec ce projet, intitulé » moments », de beaux instants de lumineuse pureté musicale, sans prétentions, avec cœur et générosité.
Le mardi 14 janvier au Sunset, à 21 h, vous allez pouvoir constater en « live » la qualité de cette démarche musicale.
Georges Kiosseff
ZICAZIC
Jeune guitariste plein de talent mais aussi d’audace, Nicolas Parent est un compositeur qui n’hésite pas à dépasser le cadre du jazz pour inviter le public vers d’autres choses, vers un univers imaginaire dessiné en forme de voyage mais un voyage qui ne s’embarrasse jamais de détails inutiles, se concentrant sur une écriture musicale épurée et pourtant si sensuelle…
Accompagné de Tommaso Montagnani à la contrebasse et Guillaume Arbonville aux percussions, le guitariste finaliste du Tremplin Jazz à St Germain des Prés enregistrait en 2011 son premier album aux Studios de Meudon et réussissait à mettre dedans toutes les images nées de son imagination débordante, réalisant du même coup une sorte de road-movie parfait dans lequel toutes ses nombreuses expériences acquises au gré de ses prestations dans les plus belles salles franciliennes contribuent à rendre ces « Moments » particulièrement riches et intenses.
Les premières notes pleines de sagesse et de retenue finissent par prendre un peu plus de liberté au fur et à mesure que défilent les « Silence », « Sunday Afternoon », « Premier jour » et « Ouverture », le ton adopté par le Nicolas Parent Trio se montrant en définitive beaucoup plus progressif que jazzy et la réalisation invitant plus ouvertement à sa table la simplicité acoustique des instruments et du jeu qui en est fait qu’un quelconque effet technique dont l’ouvrage se passe sans le moindre mal de bout en bout.
La fluidité naturelle des mélodies ne rend jamais ce premier album trop lisse et plus on se penche sur sa musique, plus on se dit que le trio a encore de belles routes à explorer. L’avenir est en marche…
Fred Delforge
LYLO
Sélection : Disque coup de cœur !
Habiles, les guitares de ce Parent éloigné (des bruits) prennent par la main pour une virée confiante et par l’oreille pour un subtil moment d’atmosphère bluesy, floydien. L’image du voyage s’applique ici avec un plaisir évident.
Lylo
Un sentiment de calme et de plénitude. Voilà ce qui ressort de Moments dès la première écoute. La musique du trio de Nicolas Parent est en effet une belle pause, une respiration, dans un paysage musical où les instrumentistes ont un niveau technique de plus en plus élevé et où, souvent, complexité devient vertu. La musique est ici simple, douce, atmosphérique. L’accent a été mis sur la recherche d’ambiances, et chaque titre est une invitation au songe.
La plupart du temps Nicolas Parent superpose les parties de guitare mais, aérées, aériennes, celles-ci ne saturent jamais l’espace. L’alliance de sonorités acoustiques ou électriques (sons clairs) est très réussie et le musicien décline ces couleurs organiques en une gamme étendue de teintes boisées. Les cordes pincées sur l’introduction de « When Dreams Come True », les accents moyen-orientaux de « Zyryab » ou l’utilisation des tablas sur « « Brise légère » sont autant d’éléments montrant sa volonté (et celle de ses partenaires) de se créer un folklore propre en puisant dans différentes traditions. Telle une couleur plus sombre permettant d’élargir encore la palette, la contrebasse de Tommaso Montagnani vient mêler sa sonorité soyeuse aux guitares, suggère la mélodie ou s’en éloigne pour développer des parties d’accompagnement souples et pleines de rondeur.
Le son du trio, toujours dans cette veine coloriste, doit beaucoup aux percussions de Guillaume Arbonville, qui préfère lui aussi les sons boisés aux sons métalliques. Les cymbales servent à ponctuer, ou sont utilisées comme des gongs, mais rarement à des fins pulsatiles, ou alors de façon minimaliste, comme sur le très beau « Premier jour». La diversité des percussions utilisées (tablas, shakers…) élargit bien évidemment le spectre d’expression, mais c’est avant tout sa fascinante approche des fûts qui renforce l’identité du trio. Il y développe une sorte d’accompagnement très narratif et naturel.
Ces éléments combinés contribuent à donner l’impression qu’on entre, avec ce recueil de ballades épurées, dans une zone de confort car la musique nous enivre et nous happe d’emblée, mais les mouvements nés du travail d’écriture abouti éloignent toute morosité, y compris sur les formes les plus simples, comme le blues « Bang In Blue », fortement imprégné de l’univers du groupe.
Ces Moments délectables referment leur lot d’instants précieux : les petits voyages mis en sons par Nicolas Parent nous font traverser de beaux paysages, évoqués sous l’éclairage bleuté de l’aube. Fragiles et éphémères, les quelques minutes magiques durant lesquelles la nuit tire sa révérence tandis que le jour approche à pas de loup semblent fixées sur cet album recommandé. Chaleureusement
Olivier Acosta
GUITARE XTREME MAGAZINE
La nouvelle scène jazz est passionnante, en cela que les oreilles de ses protagonistes, qui ont pour la plupart entre vingt et trente ans, ne se sont pas uniquement nourries de jazz, mais également d’une certaine pop atmosphérique (Radiohead, Tortoise, Sigur Ros, entre autres).
Nicolas Parent, guitariste francilien dont la réputation ne cesse de grandir, est de ceux-là. Faiseur d’ambiance, Nicolas est un encapsuleur d’émotions, qu’il nous présente sous forme de petits tableaux, avec, toujours un penchant pour une certaine forme de minimalisme, que ce soit dans les trames harmoniques modales de ces compositions, que dans les phrasée de ses chorus.
Cette vision éthérées de la musique n’est pas sans évoquer le sorcier Bill Frisell (“Zyryab”, “Bang in blue”, “Sunday aftyernoon”), mais aussi certaines périodes de Pat Metheny voire, dans un autres registre, l’école classique impressionniste du début du 20e siècle (Claude Debussy, Eric Satie).
La formule magique du trio avec guitare (électrique, folk ou nylon) apporte aussi cette notion d’espace, qui autorise une flexibilité extrême entre les musiciens (Nicolas est ici entouré de Guillaume Arbonville aux percussions et de Kentaro Suzuki à la contrebasse). Un très beau disque, qui séduira à coup sûr les amateurs de musiques modernes improvisées.
Ludovic Egraz
BLUES & CO MAGAZINE
Luxe, Calme et volupté
Voici un très bon album de jazz. « Moments » est le fruit du travail de Nicolas Parent à l’écriture et à la guitare, de Tommason Montagnani à la contrebasse et de Guillaume Arbonville aux percussions. Ici les mots sont inutiles. Les notes s’égrènent comme une douce pluie de printemps.
Musique soyeus, fluide à l’exemple du morceau « Brise légère ». Un très bel album, vous disais-je. Tout ici est « luxe, calme et volupté ». Un album indispensable quand on est épris de beauté, tout simplement. Je serais curieuse d’écouter le trio lors d’un concert !
Queen Lolo
CULTURE JAZZ
Dans la série « J’ai raté la sortie, mais il n’est pas trop tard… », nous avons reçu ce disque paru en 2011. La musique fraîche et poétique du guitariste Nicolas Parent veut évoquer des impressions et des émotions. Il parvient à nous ouvrir la porte de son univers pour nous en faire apprécier les nuances délicates grâce à une indiscutable maîtrise instrumentale. Une esthétique personnelle qui puise aux sources de la folk-music, des musiques du Monde et de la pop « soft » autant que du jazz. Une découverte agréable.
Thierry Giard
ALIGRE, Liberté sur Paroles
L’émission du moment !
En ce premier lundi de printemps et jour de passage à l’heure d’été, voici une émission chaotique à souhait où l’on écoute le très beau premier album du trio de Nicolas Parent.
Dans ce disque qu’il a entièrement composé et où, avec Guillaume Arbonville aux percussions et Tommaso Montagnani à la contrebasse, Nicolas déploie ses talents de guitariste.
Pour ce musicien de formation classique l’improvisation semble correspondre à un besoin de s’écarter un instant du chemin tracé pour, d’un point de vue surprenant et décalé, jeter un regard neuf sur le paysage musical.
Car il est effectivement ici question de regard : dès les premières notes, on part avec le trio dans un voyage plein de surprises et on se prend au jeu : on s’invente des intrigues, des animaux surgissent, voire même des êtres fantastiques… puis tout redevient calme… ou pas !
Chacun est libre au fil des titres de l’album « Moments » de se faire son cinéma. Une seule chose est sûre : ces compositions sont captivantes et on a beaucoup de mal à descendre en marche !
Eugénie Barbezat
MONTICULE MUSIQUE
Ce trio est constitué de Nicolas Parent à la guitare, de Tommaso Montagnani à la contrebasse et de Guillaume Arbonville à la batterie.
Une formation de structure somme toute classique au service d’une musique originale aux résonances épurées de tout artifice autre qu’une acoustique
pure et bienveillante. Le langage semble improvisé (mais pas trop) et emprunt, de- ci, de-là, de folk, de blues et à toute essence émotionnelle propre à leur sensibilité du moment.
L’album nous propose dix moments musicaux touchants, dix « unplugged » racés.
Noel Lopez
MÉDIATHÈQUE MUSICALE DE PARIS
Trois jeunes musiciens de la région parisienne dont l’originalité est de tisser tout au long de l’album un son aérien, l’espace prend toute sa place, les notes restent suspendues dans une clarté qui appelle à l’apaisement.
Les rythmes jouent sur la profondeur des « tambours » entre l’eau du ruisseau et le grondement de l’orage qui monte, et enfin, les notes de guitare de Nicolas Parent ramènent le calme par des mélodies éthérées. La basse se mélange aux sonorités de la pulsation et les arpèges de la guitare tout en développant un jeu qui lui est propre.
Un jeu complémentaire très nettement perceptible, qui devient souvent l’épine dorsale du son de la formation et enrichi le propos de Nicolas Parent qui peut ainsi laisser ses notes parcourir les méandres que suggère le batteur/percussionniste.
À noter la très bonne prise de son, très dynamique.
Une belle réussite, qui vous ramène à des souvenirs d’horizons, de grands espaces, un ciel bleu, une grande plage, vide, d’où l’on observerai la mer, calme, dense, immense. À encourager.
Philippe Lechevalier
JAZZ MAN – JAZZ MAGAZINE
Tremplin Jazz en baie : une excellente cuvée
Toujours fidèle à l’adage de Claude Debussy « On ne décourage jamais assez les jeunes talents », après avoir sévi cet été au concours national de jazz de la Défense, puis au Tremplin Jazz d’Avignon, Pascal Anquetil a récidivé en officiant, pour la première fois en tant que juré, au Tremplin Jazz en baie (Basse-Normandie).
Il en revient ravi et optimiste sur l’avenir du jazz en France (…)
(…) Catégorie «Trio Jazz» En finale, quatre trios jazz en compétition et un seul lauréat à désigner. Dur, dur, dur. L’un des trios, celui du guitariste Nicolas Parent, pour cause de « blocage » de son contrebassiste au Japon, à Osaka, a du improviser, dans le sillage de Pat Metheny et Bill Frisell, un pas-de-deux inédit avec Guillaume Arbonville, batteur souriant, fin, attentif et inspiré, minimaliste aux balais comme aux mailloches (…)
Pascal Anquetil
FRANCE INTER, Summertime
“ Place maintenant à un univers beaucoup plus planant, lui.
Celui du guitariste Nicolas Parent, qui a réalisé un disque assez épuré et mélodique, qui nous transporte entre le désert du Sahel et du grand nord ; enfin c’est mon interprétation. Ici ce serait plutôt le Sahel.
Le morceau s’appelle Zyryab, dont on a choisit un petit bout ; puisque la composition de ce morceau est très, très longue. Mais ce morceau mérite qu’on s’y attarde.
C’est justement, cette promenade qui donne cette notion d’étendu. Étonnant ! Très réussi et intéressant.”
Elsa Boublil
FRANCE MUSIQUE, On ne badine pas avec le Jazz
P.B. : “On change de style pour la découverte qui est aussi une œuvre française et, ce qui ne gâche rien, est une berceuse.
J.B. : Oui, il s’agit de la très chic « Nuit pourpre », du guitariste Nicolas Parent, et que l’on dédit à ceux éventuellement qui trainerai encore sous la couette !
J.B. : Nuit Pourpre, une composition raffinée du guitariste Nicolas Parent
P.B. : Un extrait de son 1er album, intitulé “ Moments ” au pluriel, avec un s
J.B. : Des moments de calme et de sérénité, qu‘il partage dans ce très bel opus ; avec le contrebassiste Tommaso Montagnani et le percussionniste Guillaume Arbonville ”
Jérôme Badini & Patrice Bertin
FRANCE MUSIQUE, Open Jazz
“Et si vous aimez le Sunside, et bien restez-y. Au moins jusqu’à demain soir, puisque cela vous permettra d’écouter le guitariste Nicolas Parent : qui est extrêmement léger, qui extrêmement amusant, ludique.
Un vrai jongleur, dont je vous propose d ‘écouter ici un morceau, alors qu’il sera demain au Sunside à Paris.
Accompagné de G. Arbonville aux percussions, Kentaro Suzuki à la contrebasse et lui même donc à la guitare (…)
Ouverture, c’est donc un morceau du guitariste Nicolas Parent, extrait d’un disque sous lequel on peut l’écouter avec le percussionniste Guillaume Arbonville et aussi Tommaso Montagnani qui est à la contrebasse.
C’est justement avec Guillaume Arboonville aux percussions, et également le contrebassiste Kentaro Suzuki qu’ on peut l’entendre ce soir au Sunside”
Yvan Amar
FRANCE MUSIQUE, Open Jazz
“Actualité de la guitare en France, de la jeune génération. Encore un premier disque (…) il est signé de Nicolas Parent. Il s’appelle “Moments“. Nicolas Parent à la guitare, Tommaso Montagnani à la contrebasse et Guillaume Arbonville à la batterie.(…)
“Bang in blue“, composition du guitariste Nicolas Parent pour son album “Moments“ qui vient lui aussi de sortir.
Un premier disque de compostions originales. ”
Alex Dutilh
TSF JAZZ, Mi La Ré Sol Si Mi
Un bien jolie climat, c’est celui du guitariste Nicolas Parent dont c’est le premier album en tant que leader.
Alors vous l’avez entendu, une musique aérée avec de très belles respirations, un phrasé délicat.
Comme toujours, je le précise parce que c’est très important, l’artiste c’est une chose – donc Nicolas Parent excellent musicien – très très bien mis en valeur par les musiciens qui l’accompagnent : c’est-à-dire Tommaso Montagnani à la contrebasse et Guillaume Arbonville aux percussions.
L’album d’où est tiré ce morceau s’appelle « Moments », il est sorti en 2011.
J’ai reçu ce disque et j’ai comme on dit ; un coup de cœur pour cet album, voilà pourquoi je voulais le passer aujourd’hui. ”
Manu Galvin
TSF JAZZ, Mi La Ré Sol Si Mi
“C’est issu de son premier album qui est sorti en 2011 sur le titre “Moments”
Il s’agit de Nicolas Parent qui nous offre, vous l’avez entendu un univers assez intimiste avec de belles couleurs. Une musique qui apaisent, et par les temps qui courent ça fait du bien, je ne sais pas si vous êtes d’accord avec moi. Voilà en tout cas c’est le cas.
Et si ça vous intéresse, je profites de l’occasion pour vous dire qu’il sera en concert, donc Nicolas Parent, samedi prochain, c’est à dire le 1er juin ; à 21h30 sur la Péniche l’Improviste. Péniche qui sera à quai semblerait-il en tout cas au 34 quai de la Loire Paris 19e.
Donc si vous voulez continuer l’aventure avec Nicolas Parent, c’est l’occasion.
Je vous conseille d’y aller parce que je pense que ce sera une bonne soirée.”
Manu Galvin
RADIO CAMPUS PARIS, Jazz & co
“On revient un petit peu vers des horizons moins agités, moins dance-floor oriented, on va dire ; avec le très bel album du Nicolas Parent trio que j’ai reçu il y a assez peu de temps et que Nicolas Parent a eu la gentillesse de nous adresser.
On avait déjà bien aimé un précédent opus qu’il avait sorti de manière complétement indépendante, on est dans le pur auto-produit. J’ai trouvé qu’il y avait de très beaux climats et des belles ambiances.
Guitariste au touché assez impeccable, il est accompagné ici de Tommaso Montagnani à la contrebasse et de Guillaume Arbonville aux percussions.
C’est un album qui se vit un peu comme un road-trip, la pochette d’ailleurs en dit long des grands espaces. On serait tenter d’aller à la découverte d’un disque un peu comme le Jazz nordique en fait et finalement c’est peut-être un peu plus compliqué que ça et ça lui va très, très bien.
On va écouter « Premier Jour », une composition de Nicolas Parent avec son trio (…)
C’était « Premier Jour » de Nicolas Parent trio. 2ème album de ce guitariste très, très doué, très sensible avec un beau touché et un beau sens de l’atmosphère et du climat.
Je trouve le disque assez réussi. Toutes les compositions vous entraînent assez loin
Il y a des choses un peu plus faciles que d’autres mais c’est toujours fait avec goût et une grande entente entre les trois.
Nicolas Parent à la guitare – aux guitares car il en utilise plusieurs – Tommaso Montagnani à la contrebasse et Guillaume Arbonville aux percussions.
C’est en auto produit donc. Mais il faudra se débrouiller pour le trouver mais je crois qu’il est un peu en place dans les magasin de disques, si toute fois vous les fréquentez encore »
Voilà, décidément on n’arrête pas de voyager dans ce Campus ce soir : on était avec Jim Hall à New York en compagnie de Sonny Rollins sous un pont, sous le pont de Brooklyn ; on était en voyage avec Nicolas Parent et ensuite avec Ralph Towner”
Bruno Guermonprez
Crédits photos : © Mathieu Catonné, © Solange Muntzer